Gérer le stress : 05 astuces pour y arriver

Le stress, ce mot qui fait peur et « stresse ». Certains diront comme à l’habitude dans le langage populaire : l’Africain ne connait pas le stress. Le stress est un trouble psychique et organique qui résulte d’un traumatisme. C’est donc le résultat d’un choc. Il faut que l’on sache à cette définition que ça peut arriver à tout le monde. La seule chose qui fait que ce mal soit méconnu et ignoré c’est la confusion que les gens font souvent au sujet du stress. Dans un contexte comme le nôtre, l’on a tendance à toujours minimiser certaines choses. Le stress fait malheureusement parti de ces choses.

« Gestion du stress » et non « lutte contre le stress ». Comme l’a dit Jean KRAKOWIECKI, on ne lutte pas contre le stress. On apprend soit à le prévenir (s’y préparer), soit à le gérer.

Étant une chose quotidienne qui peut arriver à n’importe qui (nous-mêmes ou un proche), nous avons fait une liste (non exhaustive) des choses à faire afin de bien gérer son stress.

1) La relaxation et la méditation

La relaxation est l’état où aucune pensée ne vient troubler le psychisme. C’est une méthode qui permet de détendre ses muscles périphériques et interne. Elle permet aussi d’atteindre un état de conscience modifiée et ainsi permettre une sorte d’évacuation mentale. Une relaxation avant une activité comme le sommeil permet d’augmenter la rentabilité de celle-ci.

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La méditation ou prière pour d’autres religions permet d’atteindre le calme mental et d’avoir un bien-être psychique. Le bien-être psychique et mental conduit à celui physique. La méditation consiste en une concentration sur un point précis ou sur soi. Elle vise entre autre la paix intérieure ou l’apaisement mental.

2) Le sport, la danse et le yoga

Le sport est un ensemble d’exercices physiques et mentaux. Il permet d’aérer le cerveau, une bonne circulation sanguine et aussi une oxygénation fluide. Il permet d’améliorer la concentration et le développement de la confiance en soi. La pratique du sport fait travailler le système cardio-respiratoire et facilité l’évacuation de la tension nerveuse.

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La danse est aussi une sorte de sport mais qui en plus contient une dose de préférence. Elle agit plus dans la prévention mais aide aussi d’une manière non négligeable à la gestion du stress. L’activité physique et les règles de synchronisation de la danse, alliés à l’épanouissement finale, sont des bons moyens de gestion du stress.

Le yoga, cet art qui combine calme mental et détente physique, conduit à une certaine connaissance de son corps et d’aboutir à une respiration complète. Certaines formes de Yoga conduise au bien-être mental et concerne le psychisme.

3) Les activités manuelles

Le jardinage, la cuisine, le bricolage et tant d’autres sont des activités qui permettent une certaine détente et l’amélioration de certaines qualités dont la concentration. La détente ici n’est pas à être prise au sens strict. Ces activités permettent de ne pas se focaliser sur soi, ses problèmes pour un laps de temps.

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Pendant ces activités manuelles, le subconscient remplace le conscient dans la recherche d’éventuelles solutions. Cela a de bien d’être un moyen de gérer le stress mais aussi d’en profiter pour satisfaire une curiosité ou ses hobbies. Les activités manuelles permettent de réorienter le plein d’énergie résultant du stress.

4) Le sommeil et le pardon

Ne dit-on pas que le sommeil est réparateur ? Le stress étant un dysfonctionnement du corps, quoi de mieux qu’un bon sommeil pour récupérer. Le sommeil la récupération de l’énergie physique dépensée via l’évacuation des tensions accumulées. En plus, il permet aussi au cerveau de se ressourcer, de restructurer les souvenirs et faire le plein d’énergie pour la journée suivante.

Le manque de sommeil à plusieurs conséquences dont le manque de concentration. Cette dernière va accroitre le niveau de stress ou même le créer. La solution est donc d’avoir une bonne nuit afin de bien gérer son stress. De la qualité de notre nuit, dépendra celle de notre humeur et de la journée même.

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Le pardon est le fait de tenir une offense ou une faute pour nulle et renoncer à punir les responsables. Le pardon est libérateur et toutes les religions le prône pour le développement spirituel. Le pardon est un acte capable de réduire les différents malaises de l’Homme. On dit souvent que celui qui est capable de le pratiquer, augmente l’estime de soi et l’espoir pour le futur.

5) La bonne relation de couple

Il sera bien de préciser qu’il s’agit de relation saine pas de celle à dos de hérisson (J). Que personne ne se sente indexer, ce qui importe ici est que la relation de couple permette de bien gérer son stress. Une relation de couple qui va bon train permet deux choses :

  • Bien gérer les conflits en rapport à la vie de couple ;
  • Apporter son soutien dans les moments difficiles.

Le second point est le plus important pour les cas de stress. A moins que ça ne soit un stress collectif, la bonne relation de couple permettra à l’un des partenaires d’apporter son soutien à l’autre et l’aider à gérer son stress.

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La présence de l’un des partenaires est utile afin de surmonter le stress. On dit souvent que les problèmes se partagent dans un couple, c’est exactement le cas avec le stress. Le rapprochement dans un couple est un moyen très efficace alors que de voir un(e) adversaire en votre partenaire, voyez un(e) allié(e)J.

6) La bonne communication

Communiquer c’est échanger des informations. La communication est en elle-même une chose très intéressante et utile. Elle permet pour la gestion du stress d’améliorer la relation avec les autres et de tirer le meilleur. La bonne communication est celle qui conduit un résultat aussi positif que voulu.

Il est à noter que la communication, mal utilisé peut aussi mener à une situation pire que la précédente. Pour le cas de la gestion du stress, il sera préférable d’analyser avant d’utiliser la communication au risque d’aggraver la situation.

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La communication est importante parce qu’elle ressort dans la plupart des moyens évoqués dans cet article. Communiquer c’est apprendre d’autrui. Le stress est un état qui n’épargne personne et le partage d’information dans ce sens peut s’avérer utile. Au même titre que cet article, la communication aidera plus d’un à surmonter le stress.

7) Le lien social

Le lien social est l’ensemble des relations qui unissent des individus faisant partie d’un même groupe. Il peut être représenté par beaucoup de situations à la fois (famille, amis, association, travail…). Ce qui importe ici est qu’une personne bien entourée est plus à même de surmonter le stress qu’une autre qui ne l’est pas. La famille, les amis et les personnes qui nous aiment font partie de nous et partagent leur énergie avec nous.

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Le lien social agit comme un modérateur de stress. Plus l’on appartient à un groupe stable et soudé, plus la gestion du stress se trouve facilité. La présence des autres est galvanisante et le concerné puise l’énergie du groupe pour faire face au stress et le surmonter.

Le stress est un dysfonctionnement, causé par une situation extérieure, qui peut arriver à tout le monde. Les moyens pour le gérer sont divers et peuvent variés selon les préférences de chaque personne. Ce qui importe c’est de l’accepter comme tel et chercher à y remédie

Par  Joé Dez

Les trois portes de la sagesse : Laquelle vous y mènera ?

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès d’un Vieux Sage. « Éclaire-moi sur le Sentier de la Vie » , demanda le Prince

« Mes paroles s’évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d’entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t’en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t’en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton cœur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi. »

Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire « CHANGE LE MONDE ». « C’était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d’autres ne me conviennent pas. » Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant,

Mais l’apaisement du cœur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d’autres lui résistèrent. Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande : « Qu’as-tu appris sur le chemin ? » « J’ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas ». « C’est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise ». Et il disparut.

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire « CHANGE LES AUTRES ». « C’était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume et de frustration. » Et il s’insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent. 86

Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande : « Qu’as-tu appris sur le chemin ? » ;« J’ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas ». « C’est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise ». Et il disparut.

Peu après, le Prince arriva devant une porte où figurait ces mots « CHANGE TOI TOI-MÊME ». « Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c’est bien ce qui me reste à faire, » se dit-il. Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses

Imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelques succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda : « Qu’as-tu appris sur le chemin ? » « j’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à briser. » « C’est bien, » dit le Sage. « Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J’ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise. » « C’est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d’aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. » Et il disparut.

Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s’aperçut qu’elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait « ACCEPTE-TOI TOI-MÊME. » le Prince s’étonna de ne pas avoir vu cette inscription lorsqu’il avait franchi la porte la première fois, dans l’autre sens. « Quand on combat on devient aveugle, se dit-il. » Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu’il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s’aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer. Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : « Qu’as-tu appris sur le chemin ? » « J’ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c’est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J’ai appris à m’accepter moi-même, totalement, inconditionnellement. »

« C’est bien, dit le Vieil Homme, c’est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la troisième porte. » À peine arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut « ACCEPTE LES AUTRES ». Tout autour de lui il reconnut les personnes qu’il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu’il avait aimées comme celles qu’il avait détestées. Celles qu’il avait soutenues et celles qu’il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement gêné et contre quoi il s’était battu.

Il rencontra à nouveau le Vieux sage. « Qu’as-tu appris sur le chemin ? » demanda ce dernier. J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en accord avec moi-même, je n’avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d’eux. J’ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. » « C’est bien, dit le Vieux Sage. C’est la seconde Sagesse, tu peux franchir à nouveau la deuxième porte. » Arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut « ACCEPTE LE MONDE ». Curieux, se dit-il, que je n’aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu’il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l’éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C’était pourtant le même

Monde qu’autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard ? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda : « Qu’as-tu appris sur le chemin ? » « J’ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n’est ni triste, ni gai. Il est là ; il existe ; c’est tout. Ce n’était pas le monde qui me troublait, mais l’idée que je m’en faisais. J’ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement. » C’est la troisième Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde. » Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l’habita. « Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence.» Et le Vieil Homme disparut.

texte proposé par Françoise Laurent

La ville de Kribi au Cameroun : Un diamant qu’on sort progressivement de terre

Propre ,fraîche, belle , elle sent la détente à plein nez. De son esprit très différent des autres villes , elle est idéale lorsque vous voulez changer de cadre et faire de nouvelles rencontres ; car elle accueille chaque weekend plusieurs personnes d’origines diverses venues chercher l’apaisement dont seule cette ville a le secret. Où se rendre une fois que vous êtes à Kribi ? Nous vous donnons deux indices au travers de cet article .

1)  Les chutes de la Lobé

 Ici, les plages sont interminables. On y trouve un grand hangar sous lequel vous pouvez vous asseoir tranquillement , regarder les vagues qui se forment au dessus de l’eau  et les chutes se verser à forte pression dans l’océan.

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Lorsque la marrée est basse (en saison sèche), il apparait  comme une île à quelques mètres de la plage.

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vous avez Juste besoin d’une pirogue pour vous y rendre et  vous amuser dans l’eau ou au bord.

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Marcher au bord de la plage, foulant pieds nus son sable blanc et fin , le vent doux vous caressant légèrement la peau , une sensation de liberté et de libération que vous devez absolument expérimenter (surtout à deux).

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2)  Le Débarcadère

 Grand hangar construit au bord du fleuve , il abrite plusieurs grands chefs  dans le domaine culinaire  qui se chargent de faire expérimenter aux visiteurs les délicieuses saveurs d’un poisson fraichement sorti de l’eau.

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Parce qu’il offre la possibilité au client d’observer tout le processus de péché ,  de choisir lui-même son poisson parmi ceux recueillis du filet , puis de le conduire personnellement vers le grillage de son choix pour la cuisson , ce restaurant est de loin l’un des meilleurs de la ville de Kribi.

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Une large gamme de choix vous est offerte entre le  capitaine, la raie, la saule, les crevettes, les huitres, le crabe et le bar pour permettre à chaque régime alimentaire de s’y retrouver. Une fois la cuisson terminée , vous êtes servis à table avec comme compléments les plantains / pommes frites ,ou la patte de manioc attachée dans les  feuilles de bananiers communément  appelée « miondos » ceci selon votre convenance.

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Pendant la dégustation , c’est  comme un festival gustatif dans votre bouche, une explosion de saveurs, ash le goût de ça! La cuisine est tellement bien faite que vous y reviendrez certainement après la première expérience. En plus du vent  qui vous facilite la digestion , l’ambiance qui y règne est très décontractée , tout le monde se lâche pour passer un bon moment.

Kribi , Kribi , Kribi ! nous pouvons affirmer que , le  charme de cette ville balnéaire  réside dans le fait qu’elle ne  cesse de se développer et faire grandir son côté touristique tout en préservant  la nature qui l’entoure. Avant de quitter les lieux ,  rendez vous dans les boutiques de souvenirs  pour emporter quelque chose de cette magnifique aventure.

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N’hésitez surtout pas à prendre énormément de photos ,  respirez un grand coup et rendez- vous lundi pour votre routine habituelle .

Rédigé par Isis NGUTJOL

Le Contrat et ses Conditions de Validité : Que dit la loi camerounaise ?

            Le contrat inonde la vie des hommes dans la société. Les individus passent au quotidien de nombreux contrats : pour se nourrir, se loger, se déplacer, se distraire, etc.

Par ailleurs le contrat accompagne les échanges commerciaux. C’est un outil essentiel  dans le monde des affaires. Il permet de nouer des relations entre les différents partenaires de l’entreprise. Mais que savons-nous réellement du contrat ? De ses conditions de validité

1) QU’EST-CE QUE LE CONTRAT ?

            De façon simple le contrat se présente aux yeux des profanes comme un document écrit légal qui matérialise un accord de volonté intervenu entre deux / plusieurs personnes physiques, (c’est-à-dire des individus qui peuplent la société) où morales telles que les entreprises, les mairies, les associations, les ONG, les entreprises parapubliques. En vue de réaliser un besoin ou d’atteindre un but précis. Ce but peut-être par exemple : la construction d’une maison, l’achat d’une maison, la location d’une maison, une demande d’abonnement au réseau électrique, etc.

            Mais pour les professionnels du droit, le contrat est définie par l’article 1101 du Code Civil comme : « une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent, envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose ». Le contrat est donc une source d’obligation (c’est un lien de droit de nature patrimoniale entre deux personnes, respectivement créancière et débitrice, par lequel l’une peut exiger de l’autre l’exécution d’une prestation ou une abstention.) A savoir : l’obligation de donner, exemple : l’obligation de livraison des marchandises dans le contrat de vente ; l’obligation de faire, exemple : l’obligation d’accomplir sa tâche dans le contrat de travail ; l’obligation de ne pas faire, exemple : l’obligation de non concurrence impose au salarié dans le contrat de travail.

            Mais pour qu’on puisse jouir des effets d’un contrat, il faudrait au préalable que ce dernier puisse remplir à toutes les conditions de validité prévues par la loi, notamment le Code Civil de 1804 applicable au Cameroun. Faute de quoi  le contrat pourrait se voir annulé par le tribunal.

2) QUELLES SONT LES CONDITIONS DE VALIDITE D’UN CONTRAT ?

Quatre (04) conditions, énumérées à l’article 1108 du Code civil, sont nécessaires à la validité d’un contrat: le consentement, la capacité, l’objet et la cause. Si l’une de ces conditions fait défaut, la nullité du contrat est encourue.

a) LE CONSENTEMENT DES PARTIES QUI S’OBLIGENT

           Le consentement est le fait de donner son accord. Mais il ne suffit pas que le consentement existe pour que le contrat soit valablement formé, il faut aussi qu’il soit libre et éclairé. Cela suppose de vérifier l’absence de vices du consentement tels que : l’erreur, le dol ou la violence, comme le précise l’article 1109 du Code civil.

Il faut distinguer le vice du consentement (il y a eu rencontre des volontés ; le consentement a été donné mais il a été vicié) de l’absence de consentement (il n’y a pas eu rencontre des volontés

b) LA CAPACITE DES PARTIES

     La partie contractante doit être capable, c’est-à-dire être titulaire de certains droits, et en mesure de les exercer. On distingue traditionnellement la capacité de jouissance (possibilité d’être titulaire de certains droits) et la capacité d’exercice (possibilité d’exercer soi-même les droits dont on est titulaire). Au Cameroun, le mineur de moins de 21 ans qui n’a pas été émancipé ne peut en principe contracter seul que pour des actes de la vie courante. La tutelle et la curatelle sont destinées à protéger des majeurs qui ne pourront effectuer seuls certains actes.

La tutelle crée une incapacité d’exercice générale : seul le tuteur désigné sera autorisé à intervenir à l’acte. Le majeur placé sous curatelle sera représenté de manière continue dans les actes de la vie civile.

La curatelle est un régime moins strict que la tutelle, puisque le majeur n’est pas hors d’état d’agir lui-même. Il a simplement besoin d’être conseillé ou contrôlé dans les actes de la vie civile.

c) L’OBJET DU CONTRAT

         L’objet du contrat est la prestation ou la chose sur laquelle porte le contrat. L’objet doit  exister ou être futur, être déterminé ou déterminable et licite c’est-à-dire qu’il doit être conforme à la loi.

d) LA CAUSE DU CONTRAT

         La cause du contrat est la raison pour laquelle les parties veulent contracter. Elle doit exister, être licite (la cause ne doit pas être contraire à la loi) et morale (elle ne doit pas être contraire aux bonne mœurs).

si aprés la lecture de cet article , vous avez des incomprehensions , n’hesitez surtout pas à entrer en contact avec nous via notre page facebook.

Alain Rodrigue NKONGA

RISE OF AFRICA 2018 : LE TRADING AU COEUR DES ECHANGES

Si vous vous reconnaissez en tant qu’une future puissance économique, en tant qu’une personne qui est appelée  à changer les codes de l’économie, en tant qu’une personne qui doit dominer financièrement dans sa nation, alors l’opportunité d’affaire  mise en avant au travers  de cet événement vous concerne.

  • RISE OF AFRICA : De quoi s’agit –il?

RISE OF AFRICA est un concept decliné dans plusieurs  pays africains dont le cameroun.  Il a été mis sur pied par MORIAH KABANGA , un entrepreneur congolais résidant en France qui  éxerce dans le domaine du numérique et de la finance principalement du trading. Dans chaque pays d’acceuil de l’événement, il se fait accompagner d’une  ambassadrice qui a pour mission d’assurer  le suivi de toutes personnes interessées par l’opportunité présentée.  Nous verrons donc  à ses cotés la dynamique Laetitia KAMKUMO , une jeune entrenepreneure évoluant dans le meme domaine qui  est l’ambassadrice du Cameroun.

  • Pourquoi RISE OF AFRICA ?

L’objectif principal est de vulgariser le TRADING  en Afrque en général et au Cameroun en particulier. Le promoteur tient à informer ses pairs de la possobilité d’accroitre ses revenus de facon passive simplement à partir de son smartphone.

  • Quelles seront les articulations de l’événement ?

1-presentation d’un concept d’affaire dans le domaine du trading

2-Astuces et conseils en leadership

3-partage d’expérience

4-Networking

  • Quelles sont les personnes conviées ?

Toute personne souhaitant accroitre ses revenus où demarrer une activité génératrice de revenu ( etudiants , chercheurs d’emplois , cadre d’entreprise , commercants ,entrepreneurs….etc)

  • Comment y  participer ?

La participation est garantie par l’obtention d’un ticket commercialisé au prix de deux milles francs (2000 francs CFA). Bien vouloir  contacter l’ambassadrice de l’événement au cameroun Laetitia KAMKUMO au numéro  (+ 237) 696 240 889  pour obtenir votre pass.

  • Lieu , heure et date

RISE OF AFRICA se tiendra le samedi 14 Juillet 2018 à l’Hotel Vallée des Princes entre 14heures – 16 heures . Une autre session  est également organisée dans la ville de Yaoundé  le Dimanche 15 Juillet 2018 à L’hotel Jouvence 2000 entre 15heures – 17 heures .

la prospérité financiére frappe à votre porte , ouvrez la les portes d’entrées en participant à cet événement.

 

 

L’histoire de la jeune fille qui voulait atteindre le ciel

Elle achetait des livres qui lui parlait de spiritualité, d’unité, d’émotions positives, de lumière et d’amour inconditionnel.

Elle essayait de toutes ses forces d’être parfaite, et de l’atteindre ce Ciel que ses récits décrivaient.

Elle essayait de gommer ses ombres, pour atteindre cette lumière.

Elle essayait d’être joyeuse, alors qu’elle était souvent triste.

Elle essayait d’être linéaire alors que tout en elle n’était que chaos et tsunami.

Elle essayait d’être calme alors qu’elle sentait la tempête.

Elle tentait de répondre à ce que ces sages écrivaient.

Mais plus elle lisait, plus elle essayait…

Et plus elle échouait.

Elle restait immuablement humaine et duale,

Avec ses émotions paradoxales.

Elle était l’inverse de tout ce qui était écrit ;

Et s’écroulait donc accablée et accroupie.

Pourquoi donc n’était-elle pas parfaite comme tous ces gens qui savaient,

Qu’ils étaient des êtres illuminés et éveillés ?

Épuisée, elle alla se coucher et se mit à rêver.

En songe, elle vit une grande salle :

D’un côté des hommes cravatés et même certains sages ;

De l’autre des musiciens, chanteurs et poètes délurés,

Dans un vaste bordel coloré.

Les cravatés, ne pouvant tolérer une telle pagaille, partirent sur le champ !

Et il ne restait dans cette salle que tous ces gens étonnants !

Surprise, au réveil elle comprit.

Elle mit de côté tous ses livres,

Et décida de vivre !

Elle accepta alors toute son humanité,

Ses sautes d’humeur, et son cœur parfois fermé.

Elle accepta toutes ses parts et sa dualité !

Et grâce à cela, elle trouva enfin son unité.

Son cœur s’ouvrit alors en corolle,

Car elle ne jouait plus aucun rôle.

Pour une fois elle s’aimait, même si rien n’était parfait.

Elle aimait même tout ce qu’elle avait tant cherché à masquer toutes ces années.

Elle arrêta donc de se faire violence,

Et entra dans sa propre danse.

Elle n’écouta plus les savants,

Mais son élan vibrant.

Elle devint une femme sauvage,

Capable parfois d’être en rage.

Elle pouvait pleurer,

Car elle en connaissait la beauté.

Elle accepta sa nature de femme cyclique,

Et devint magnifique.

Elle comprit que tout ce qui vivait en elle était divin,

Et la lumière vint enfin !

Elle ne cherchait plus la perfection linéaire,

Car elle sentait qu’elle était comme le mouvement de la Terre.

Elle dansait, chantait et riait maintenant de sa nature paradoxale et cyclique.

Et tout en elle était apaisé,

Car il n’y avait plus besoin de chercher.

Juste sentir la brise des étoiles sur sa peau

Et écouter le cantique des oiseaux.

Elle était maintenant l’océan qui voyait ses vagues.

Elle était la conscience qui vivait ses émotions.

Elle était le divin qui vivait dans son corps humain.

Elle était l’espace infini qui vivait le temps fini.

Elle était le calme qui regardait ses tempêtes.

Elle était l’unité qui vivait sa dualité.

Tout en elle s’était réuni.

Et elle vivait sa vie.

 

Caroline Gauthier dans son livre  AU NOM DU CORPS

Quitter le statut Quo : 5 solutions éfficaces à expérimenter

« S’il y a pas un problème, il y a une solution… » Bob Marley.

Le statut quo, cette posture éternelle qu’il est difficile (mais pas impossible) de quitter, est connu de beaucoup de personnes. Les solutions à ce problème sont nombreuses mais nous ne citerons que les plus pertinentes et surtout celles qui répondent aux causes les plus fréquente

1) Dompter sa peur

la peur

La peur est un sentiment naturel que l’on retrouve en chaque être humain. Elle se caractérise différemment mais a pour seule issue, la paralysie (physique ou mentale). La peur c’est ‘’ ce truc ‘’ là qui vous empêche d’avancer ou même de bouger face à telle ou telle situation. Elle est la principale cause du statut quo et l’on est obligé de la dompter.

Dompter la peur, nous n’oserons dire supprimer la peur parce que c’est une chose impossible. La peur est un sentiment naturel, ce qui revient à dire que l’on ne peut l’effacer à moins de devenir une machine. La peur est une énergie ,et la dompter signifie la transformer en une autre. Elle a toujours précédé le courage ou l’abnégation comme l’illustre l’adage « qui n’a pas peur, n’a pas de courage ».

Le plus important n’est pas de cacher ou encore moins d’oublier sa peur mais plutôt d’en faire une chose nouvelle : le courage. L’objectif est donc de ne pas s’arrêter à la peur comme la majorité des personnes dans cette posture mais de la traverser et la transformer.  Cet exercice constituera un grand pas dans le processus de suppression du statut quo.

2) Sortir de la zone de confort

zone de confort

La zone de confort c’est le jardin personnel, le mini paradis que l’on s’est construit avec ses moyens et sa situation actuelle. Elle peut être mentale ou physique. Une situation donnée est considérée comme la meilleure pour soi et du coup toute idée d’amélioration ou de changement est refusée. La zone de confort varie d’une personne à une autre mais la situation est la même : une satisfaction totale au vue de l’actuelle situation de la personne.

Sortir de cette zone est une chose difficile, surtout si l’on y est depuis un certain temps. Cela ne veut pas dire que c’est une chose impossible. Il y a un risque, celui d’entrer dans la zone de panique qui est normalement très éloignée. L’objectif est de quitter la zone de confort pour la zone d’apprentissage. C’est cette zone qui va contribuer à la construction de votre personne. Sortir de cette zone permet de quitter le statut quo et ainsi de s’améliorer et d’apprendre des nouvelles choses.

3) Apprendre … avec sagesse et discernement

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Apprendre, c’est développer son cerveau, l’enrichir de nouvelles connaissances. L’apprentissage se fait de plusieurs manières : à l’école, à la maison, dans la rue et même dans certains lieux insolites. L’apprentissage est ce qui contribue à la maturité mentale et aussi à la maturité physique. Le Soi grandit avec l’apprentissage et ce n’est pas sans conséquence positive.

Apprendre doit se faire dans une certaine sagesse et aussi un discernement. D’une manière simple, disons que l’apprentissage est une bonne chose mais elle doit être limitée. Toute chose n’est pas bonne à apprendre. Vous rejoindrez mon idée  si jez prennais l’exemple d’apprendre à faire du mal .

Le plus important dans l’apprentissage est de le faire avec sagesse c’est-à-dire n’assimiler que ce qui sera utile et surtout positif. Les connaissances antérieures doivent servir de repère dans ce sens.

4) Se faire confiance

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« Oublie tes peurs et aie confiance en toi. Tu peux plus que tu ne le penses ! ». C’est sans commentaire la phrase que toutes les personnes se trouvant dans une situation de statut quo aimeraient entendre afin de se décider. La confiance en soi est la base de toute chose. En effet, ce que l’on pense et dit de soi est très puissant. Elle peut construire ou détruire et elle est une question de volonté de soi-même.

La confiance en soi est une question de croyance. Pour arriver à ce stade chaque personne devrait croire en elle-même et miser sur sa personne. Aucune personne ne vous connait mieux que vous et cela est une force qu’il faut utiliser en sa faveur. Votre connaissance de vous-même devrait vous poussez à miser sur vous et ainsi permettre aux autres de le faire aussi.

Votre estime signifie que vous devez considérer votre ego sans toutefois passer dans l’exagération.

5) Etre réaliste et avancer

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La réalité est ce qui se vit tous les jours. C’est le contraire du rêve et elle peut en être complètement différente. Quitter le statut quo nécessite une prise de position au vue de la réalité. Cette prise de position va normalement entrainer l’arrêt de cette utopie qui consiste à se satisfaire dans le statut quo.

Le but ici sera de se rendre à l’évidence que sa situation actuelle n’est pas la finale et qu’il est possible d’évoluer et faire avancer les choses. Il faudra donc prendre en considération les données du présent et d’en sortir une décision qui permettra d’avancer.

Loin d’avoir épuisé le sujet, nous espérons qu’à partir d’aujourd’hui vous ferez partis des personnes qui sont en constante évolution et le statut quo est un souvenir

By Joe Dez.